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Le ministre de l’Économie et des Finances, Dr Herinjatovo Ramiarison, a reçu respectivement, à Antaninarenina le réprésentant pays de la Banque Africaine de Développement (BAD), Adam Amoumoun et le réprésentant résident du Fonds Monétaire International (FMI), Kodjovi Mawulikplimi Eklou vendredi dernier. Des réunions techniques avec deux piliers de la coopération internationale pour ajuster les aides de ces deux entités aux priorités de la Refondation.
La BAD a affirmé sa volonté d’accompagner la transformation économique tout en consolidant la résilience du pays face aux chocs. Elle a rappelé la largeur de son portefeuille dans la Grande Île, des infrastructures structurantes (transport, énergie) aux filières agricoles et agro-industrielles, en passant par la gouvernance, le climat et la gestion des catastrophes.
Les discussions avec le représentant de la FMI ont mis en avant les cadres de coopération en cours, en particulier la Facilité Élargie de Crédit (FEC) et le Fonds pour la Résilience et la Durabilité (FRD). Deux instruments qui lient soutien budgétaire, réformes et stabilité macroéconomique à moyen terme. Une mission technique de la FMI est attendue en janvier 2026 dont l’objectif annoncé est de revoir si nécessaire, le calibrage des projets afin qu’ils collent au plus près aux cibles du gouvernement de la Refondation. Ce rendez-vous pourrait redessiner la carte des financements et accélérer les chantiers prioritaires.
Durant ces rencontres, le ministre Herinjatovo Ramiarison a évoqué l’organisation prochaine d’assises nationales dédiées à la relance. Les partenaires internationaux sont également invités à s’asseoir à la table, au moment où Madagascar cherche à transformer l’appui extérieur en moteur de redémarrage durable.
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Vos commentaires
On dirait « la cage aux folles »...
Même un docteur de son état, dans la spécialité de la « leche économique et technique pour faire la manche » commence déjà à faire la danse « du ventre » afin de pouvoir disposer de l’oreille et l’écoute de son "recteur politique...
La BAD et le FMI toujours disposés et présents au moment voulu à l’époque du Calife fuyard, avec leurs chaînes et laisses en main pour la « contention de la proie »...mais la pauvreté n’a jamais connu de recul ou de stagnation, au contraire, les conditions de vie de la population ne sont plus au stade de « dégradations »...même la dignité en tant qu’humain n’est plus dans la lexique et la dialectique de la coopération...
La ressemblance des pratiques et la cohérence des démarches des « foza » d’hier et des « drakaka » du moment ne sont plus à rechercher ou à identifier comme deux gouttes d’eau indiscernables... Il n’y a que la couleur et l’odeur qui changent...
Parler de refondation dans de telles situations et pratiques est de l’insulte à la face de tous ceux qui ont participé à la révolte populaire du 25 septembre 2025, l’usurpation est dépassée depuis des mois déjà pour se substituer et devenir « un piratage formel » avec des vrais pirates...il ne manque plus que la présence de « Barbe Rouge »...
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