Fuyant les agents de la police municipale qui veulent assainir les rues et trottoirs du centre ville, un individu a été percuté par une voiture. Ce fut l’opportunité pour les marchands de rue de manifester, de marcher dans la rue pour protester contre le harcèlement dont ils sont l’objet. Les propositions des autorités de la commune de la capitale de les réintégrer dans les marchés existants ne leur conviennent pas ; ils veulent toujours exercer dans la rue sinon sur une autre place dans le centre ville mais pas loin d’Analakely.
Opération d’assainissement d’Analakely
Les marchands ambulants en colère
samedi 6 février 2016 |
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2 commentaires
Vos commentaires
Pourquoi ne veulent-ils pas rejoindre les marchés ? Est-ce encore une histoire de classe sociale ? Qui sont ces exclus qui refusent d’intégrer les marchés réservés ?
ce qui fait penser encore au père Pedro qui semble avoir secouru sans pouvoir résoudre l’immigration dans la capitale qui a créé l’enfants des rues. L’obligation a s’exprimer en langue de la capital l’Imerina au risque de ne pas se faire comprendre car les autres dialectes, la capitale ne comprend pas et peut avoir un contre sens pour elle, car la capitale trop enfermé à par quelques uns sortie vers et de retour des côtes y comprennent le sens souhaité.
Miarahaba Tompoko,
Andraikitry ny olomboafidy mpitantana ny tanàna ny mametraka tontolo milamina, mirindra, madio sy hahafahan’ny mpiarabelona miaina sy miriaria ankalalahana, ary tokony hazava fa andraikitry ny fanjakana sy ny mpitondra ara-politika ny ady amin’ny fahantrana sy ny famoronana asa ka tokony tsy afangaro ny resaka