Pourquoi dérapent-elles, ces flagorneuses du plus grand voleur-usurpateur du pays ? La réponse est simple : elles ne font que suivre les pas de leur chef adoré qui, lui, s’en donne à cœur joie dans cette pratique et ce n’importe où et n’importe quand. Exemples à foison, on en ferait un bouquin. Ne pourrait-on pas lui accorder une douceur d’âme, une indulgence compte tenu de ses énormes lacunes en matière d’éducation ? On aurait pu s’il n’était un voyou, un jiolahimboto, un faikamboto.

Ses amazones lui ont emboité le pas, et comment ! Que peuvent-elles risquer, rien. Ce ne sont que des flots de paroles superflues, des mots irraisonnés. D’un « Iza no mafy...Isika no role...Antsika ny tanàna » au « profesora tsy mahay » en passant par le fameux « poizement », circulez il n’y a rien à voir. « Hors du contexte », dixit les politiques lorsqu’ils se trouvent dans pareille situation.