Un pouvoir de transition politique ayant déjà affirmé un objectif principal : la refondation de la République.

Et un gouvernement à composante militaro-civile obligé par le contexte à respecter inévitablement et obligatoirement une « austérité budgétaire ».

Un gouvernement ayant deux priorités majeures à faire face :

* une proposition de réorganisation de l’architecture institutionnelle de l’Etat en fonction des aspirations populaires exprimées à travers des manifestations publiques largement suivies encore incandescentes dans le contexte du présent

* des revendications corporatistes et syndicales de plus en plus virulentes émanant des différentes structures de l’administration et anesthésiant actuellement le fonctionnement optimal du service public

Avec un chef de gouvernement de plus en plus contesté...

Sa responsabilité antérieure en tant que banquier dans le transfert des prebendes à l’extérieur du pays par le « caïd » et le « Calife »...son appartenance à la « franc-maçonnerie » et ses propensions à servir les intérêts français...

Et très récemment, la forte suspicion de plus en plus prononcée sur sa Citoyenneté française lui aussi comme le Calife...

Bref, une transition instable quelle que soit la composition du gouvernement...